Interview de Charlotte BÉGARD

Exposition à la Maison pour l’Image et la Photographie du 2 octobre au 24 octobre 2021

– Quelques mots pour te présenter :
Je présenterai plutôt mon travail qui a la particularité d’être argentique. Au labo je développe mes films et je réalise tous mes tirages, auxquels je donne une texture particulière en utilisant des monotypes sur plastique et des trames papiers ou tissu.

– Quand et comment es-tu tombée dans la photo ? Qu’est-ce que cela représente pour toi ?
J’ai rencontré la photographie au collège, elle m’a accompagné au Beaux-Arts et puis aujourd’hui encore dans ma pratique artistique… c’est une passion qui ne m’a jamais quitté ! Une façon de m’exprimer !

– Quels sont les sujets qui t’intéressent ? Qu’est-ce que tu y cherches, y trouves ?
Mes séries commencent toujours par une balade curieuse c’est pourquoi je fais essentiellement du paysage. J’essaie de transcrire le monde autrement et d’exprimer ma sensibilité.

– Qui sont les photographes qui t’inspirent ou dont tu apprécies particulièrement le travail ?
La liste des artistes que j’apprécie et qui m’inspirent est longue, qu’ils soient graveurs, photographes, dessinateurs ou peintres… Pour répondre à la question je dirais la ville d’Alexey Tirarenko, les expérimentations d’Alexendra Serrano et Simon Pochet, les vanités de Jean Claude Gautrand sans oublier « La vue du Gras » de Nicéphore Niepce.

– Qu’est-ce que tu présentes dans ton exposition ?
Dans la série « foma » que je présente, j’ai joué avec la qualité particulière d’un vieux papier tchèque en y combinant mes expérimentations. J’ai utilisé un papier de soie peint pour la texture ce qui lui donne un grain très particulier et son étrangeté. À chacun-chacune de le recevoir et de s’en émouvoir !

– Et pour la suite ? Des projets, des envies de découvertes, d’évolution ?
Des projets y’en a toujours, ils me tombent dessus un peu par hasard, au fil des rencontres, des lectures et des aléas. C’est le temps qui manque parfois.

-Lien hypertexte vers le site internet où l’on peut te retrouver :
Facebook

Laisser un commentaire

Previous post Interview de Jérome GENÉE
Next post Interview de Nathalie LABAYS-GARREY