Le diable se cache dans les détails : Sortie à la chapelle de Ronchamp
Le diable se cache dans les détails.
L’approche d’une œuvre, au-delà du choc de la première découverte, suit de multiples voies. Les visions qu’elles procurent, tracent le chemin vers une connaissance différente, personnelle. De leur nombre dépend la profondeur du regard. Aucune vision n’est iconoclaste pourvu qu’elle soit personnelle. Aucune contrainte n’est réductrice si elle engendre une révélation.
Voir autrement, changer de point de vue : voilà le défi de cette séance pour appréhender l’architecture de Le Corbusier.
Le diable se cache dans les détails : à la recherche du matérialisme, nous disposions de 30 minutes pour photographier 100 détails différents de la chapelle. Pas de vue d’ensemble, pas de doublon. Puis à la réflexion, n’en sélectionner que 5. Celles qui résument nos impressions durant ce parcours.
Il y aura convergence entre l’art et la spiritualité : à la recherche de la spiritualité. Le Corbusier, quoique n’étant pas religieux, c’est laissé convaincre par le père Couturier : « la beauté que vous allez faire éprouver va permettre à ceux qui ont la foi de retrouver ce qu’ils viennent chercher ». Nous disposions de 20 minutes pour photographier la chapelle en pensant à la convergence entre l’art et la spiritualité. Nous n’en sélectionnerons que deux. Celles pour lesquelles nous avons ressenti cette connivence.
Pour des raisons de droits à l’image, l’ADAGP – société des auteurs dans les arts graphiques et plastiques ne nous autorise pas à publier des photographies de la chapelle de Ronchamp, sauf à s’acquitter d’une redevance mensuelle qui n’est pas à la mesure des ressources de l’association. Nous ne sommes donc pas en mesure de vous présenter les photographies des participants à cette animation dans un espace public. Elles ne sont visibles que pour les membres de l’association dans un message privé.