Festival – Interview de Francine Koeller

– Quelques mots pour te présenter
Bisontine de naissance puis de choix, j’aime les grands espaces avec de l’eau, le chocolat, le noir et professionnellement, je m’investis dans différentes activités auprès d’entrepreneurs.

– Quand et comment es-tu tombé dans la photo ? Qu’est-ce que cela représente pour toi ?
Depuis le club photo du lycée, j’ai toujours eu un appareil photo sur moi.
Progressivement, j’en ai fait mon loisir principal et aujourd’hui, photographier est une respiration. J’aime le moment de la prise de vue, le plus souvent dans le calme de la nature. C’est à la fois un moyen de m’évader, tout en étant intensément dans l’instant présent.

 – Quels sont les sujets qui t’intéressent ? qu’est-ce que tu y cherches, y trouves ?
Attirée par l’esthétique des choses, je suis toujours émerveillée par les beautés simples et naturelles qui sont là, tout autour de nous, que ce soit un paysage ou l’organisation d’un végétal.

– Qui sont les photographes qui t’inspirent ou dont tu apprécies particulièrement le travail ?
Il y en a plein, beaucoup de contemporains. Et je citerai les pauses longues épurées de Michael Kenna, les arbres de Ansel adams, l’Amérique en couleurs de William Eggleston, le quotidien de Vivian Maier, les codes de Dong Hong-Oai, etc…

 – Qu’est-ce que tu présentes dans ton exposition ?
Ces temps-ci, j’ai mis du zen épuré ponctué de quelques éléments graphiques dans mon quotidien.
J’ai retrouvé cela dans les photos de graminées, celles qui envahissent nos champs et talus sans qu’on ne les remarque vraiment.

  – ET pour la suite ? des projets, des envies de découvertes, d’évolution ?
Je suis d’un naturel curieux et j’aime expérimenter des nouveautés. J’ai commencé à travailler avec des objectifs anciens, j’aime la photo culinaire, les grands espaces… J’ai commencé une étude de  la trace de l’humain en mouvement, non aboutie, mais une première approche de l’humain que j’ai encore du mal à photographier.

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